Aporte un dragon

Bou marchait depuis tôt le matin.Il avait pris son dejeuner ici.Maintenant c'estait le debut de l'apre midi.Il marchait grimpait courrait sur les montagnes.Puis il s'arreta net.Il se pencha en avant et vit un petit dragon tout seul.Il n'avait plus sa maman.Il n'etait pas dans u nid et aussi il avait plein de blessures.generalement les dragon nichait plus haut.Il le pris dans ses bras et le porta.Il voulait le ramener a sa famille.Ce qui etait plutot dansgeureeux.Mais BOu ne voulait pas priver un petit etre vivant de sa famille.le garçon se decida aussi a le soigner.Il aimait vraiment les petit dragons.Il les trouvait trop mignons.Bou se releva s'assis et commença a le soigner.Il avait prit de l'equipement pour lui.Puis Bou dit tout fort.
Negmus.Petit dragon je vais t'appeler Negmus

Morwen, assise sur l'herbe se laissa bercer par une agréable brise. Son école lui manquait, et elle se laissait gagner par la nostalgie. Soudain, alors qu'elle fermait les yeux, une paire d'ailes arriva dans le ciel à toute allure. Elle étincelait et changeait de couleur toutes les secondes. Cette vue lui rappela Tigrette. Oui, c'était sûrement elle et Tyrsis qui lui envoyait ce réconfort. Sa chatte et elle étaient en effet liées par l'esprit. Elle lui envoyait donc ce divertissement. La jeune fille les endossa, et partit d'un coup.
Elle frémit au contact de l'air froid et glacial du ciel. La Primera respira un bon coup, et s'élev un peu plus en tournoyant. Bientôt, elle vit milles petites étoiles tournoyer autour de sa tête. Ne sachant pas trop où elle allait, Morwie se posa sur une roche, les yeux fermés, tenant sa tête entre ses mains. Elle suffoquait d'être monté trop haut, trop vite et en tournant. Elle se le reprocha mentalement, se sépara de ses ailes et commença à grimper sur la roche verticale. Les prises étaient abondantes, et la jeune fille avançait vite. Bientôt, ses mains furent à plat, et elle se hissa sur la vaste plate-forme. Morwen remarqua tout de suite la lave qui bouillonnait à quelques centaines de mètres. Elle leva les yeux de la lave chaude et vit Bou et un dragon. Elle le salua amicalement :
Ho, bonjour Bou ! Ce petit dragon est à toi ?

Pendant que BOu parlait au petit dragon,Morwen se faufila derière.Puis elle le salua.Bou surpris de voir quelqu'un ici sursauta.Puis il se tourna et alla voir la jeune fille.(je presume que tu est assise non?)Il s'assit a coter d'elle tout en gardant le dragon sur ses genoux.
Lui non,c'est un petit dragon que j'ai trouver.Et comme il etait blessé je n'ai pas voulus le laisser seul.J'irais le ramener a ses parents.
Bou savait bien que ce serait dengeureu pour lui.S'approcher d'un dragon n'est pas vraiment courrant.Même pour un sorcier.Il se demandait comment il allait pouvoir faire.Il voulait a tout prix rencontrer les parents de son nouvel ami.Puis il se tourna vers Morwen.Il question trottait dans sa tête.Eest elle plus jeune que moi ou pas?
Dit moi Morwen,tu as quel age?

Morwen regardait avec curiosité le petit dragon qui se tenait sur les genoux de Bou. Le jeune homme le cajolait gentiment, et s'amusait avec lui. Puis il vint s'asseoir à côté de la jeune fille après avoir répondu à sa question. Il lui en posa une nouvelle. Elle répondit plaisamment :
J'ai 17 ans. Et toi ? demanda-t-elle à son tour sans hâte. Elle s'en fichait un peu, en fait.
Morwen approcha sa main vers le museau du petit dragon, qui la renifla avec méfiance. Légèrement inquiète pour sa main ( ), Morwen essaya pourtant de ne pas la faire trembler. Le dragonneau, sentant son trouble, souffla un nuage de fumée. La jeune fille palit un peu, mais garda sa main, et l'approcha, doucement... Il lui laissa caresser ses écailles rugeuses et son encolure. Morwen, rassurée, lui souffla, en reprenant ses couleurs :
Bon dragon...
Pour le titiller, Morwie fit apparaître un filet d'eau qu'elle fit éclater sur le bout du nez du dragonneau, mais il eut une mimique si inquiétante que Morwen arrêta ce manège sur-le-champ.

Bou croyait que Morwen etait plus jeune que lui.He bien il s'etait tromper.Et bien.
J'ai 15 ans.Enfin ...bientôt.
Puis Bou remarqua que Morwen voulait jouer un peut avec le petit dragon.Mais apparament,Negmus,n'etait pas de cet avis.Bou trouvait cela tres drole.Il sortit le jouet de son ecureuille,(qui ne joue jamais avec =___=)et le tendit a morwen.
Essayes avec ça.Il aimera peut etre.
[color=white]Bou n'avait pas l'habitude d'etre avec une fille plus agé que lui.Il etait souvent avec des premiere années.[/color

]

Morwen eut soudain l'impression que Bou était géné, mais elle décida de ne pas s'en soucier, ça passerait. Elle prit le jouet en souriant et l'agita devant le dragon, qui le suivit des yeux. En riant, elle le jeta en l'air, et attendit la réaction du dragon, qui ne se fit pas attendre : il décolla, et alla attrapper le jouet, puis revint avec celui-ci dans sa gueule. Il le machonnait tranquillement, sans plus s'occuper du reste du monde. La Primera fit mine de lui retirer de la gueule, et il gronda aussitôt. Prudente, elle retira aussitôt sa main et regarda la lave bouillonnante. Le silence qui s'installa la rendit vaguement mal à l'aise, sans trop savoir pourquoi. Le mutisme soudain de Bou la rendait perplexe, mais elle ne fit aucune réflexion à ce sujet, faisant semblant d'être plongée dans ses pensées.

Un grand blanc etait la depuis 10 minutes.Les deux jeunes ne parlait plus.Le petit dragon lui machouillait le jouait.On entandait le buis d'une brise legere.Bou voulu casser ce silence mais ne savait pas quoi dire.Il etait un peut géné.Puis il trouva que le petit dragon n'aimait pas vraiment la demoiselle.Et bou etait assez confus.Il n'avait pas vraiment l'habitude de voir un annimel aussi mignon repousser un si jolie fille (Bou connai que des jolie fille =D).Enfin bref.Il ne savait pas vraiment quoi rajouter pour casser le silence.Il essaya quand même mais ne trouvait pas vraiment quoi.Puis d'un coup il trouva.Un peut avant il se rapella qu'il avait eu une petite soeur.Mais qui n'en savait rien jusqu'a a peine un moi.
Tu as des frere et soeur?Moi j'ai trois frere de ma famille adobtive et un vraie soeur.
Bou dit ça d'un air content.SA famille adobtive etaitt gentille et il avait renouer les liens avec sa mere.

La jeune fille se sentait genée, mais Bou essaya de relancer la conversation. Pourtant, il lui fit mal au coeur, et une ombre passa dans ses grands yeux bleus :
Euh... non, mes parents sont morts il y a bientôt un an, et je suis fille unique. répondit-elle d'une voix qu'elle voulait enjouée. Parler de ces défunts parents la plongea dans de vrais souvenirs. Sa mère patineuse, son père restant à la maison... Elle essaya de se rappeler de son visage, et un souvenir lui revint brusquement.
En fait, elle était enceinte quand elle est morte. Le bébé aussi, je suppose...

Bou baissa la tête.Il benait de faire une gaffe.Et plutôt grosse.Il regardait ses pid.Une mine triste s'afficha sur son visage.Bou savait que morwen etait un fantome.Il penssait qu'elle pourrait surment retrouver ses parents, mais bou se dit un peut apres qu'elle avait peut etre deja chercher.Il ne lui dit rien sur ce sujet a part un petit desoler qui semblait triste.On n'entendit pas vraiment les paroles du jeune garçons mais, tout le monde pouvait deviner ce qu'il allait dire.Bou releva la tête et regarda le volcan cracher son feu.Il y avait un long moment sans que personne ne parle.Et bou ne brisa pas ce moment.

Morwen continua d'une voix hésitante :
Parfois, je me dis : pourquoi ne pas être parti parmi eux ? J'ai aujourd'hui la réponse à ma question. Je suis lâche. Je n'ai pas le courage de partir pour de bon. Je me dis que je ne verrai plus jamais le visage de Lyra, Milane, Hiraso, Ren, Siley, Ambre, Luciano...
Sa voix se bloqua au prénom du parti. Lu... Parti... Pour toujours de l'école. Totalement desespérée, elle continua en se forçant :
Je ne voix déjà plus le visage d'Opale, de Jason, Luna, Dana, Mélian, Kay, et aujourd'hui Ambre et Lu... Ciano...
Une boule se forma dans la gorge de Morwen. Son coeur contenait tellement de souffrances...
Je me dis que je ne pourrai plus jamais voir les visages qui sont encore là...
Elle s'arrêta de parler, ses yeux bleus totalement ailleurs. Elle était maudite, c'était sûrement cela. Tous les gens qu'elle aimait partaient. Ses amies, ses... amoureux... Oui, ce nom convenait bien à Kay, mais pas à Luciano. Lui... C'était tellement plus magique avec lui... Il l'avait sauvée de la mort une fois, ils s'étaient tellement aimés, tous les deux... Elle avait cru qu'ils s'aimeraient toute sa vie, et qu'après avoir fait leur études ensemble, à Mélusina, ils se marieraient, auraient des enfants... Elle avait cru pouvoir avoir une vie heureuse, en tout cas plus heureuse qu'avant, et aujourd'hui elle se retrouvait fantôme... Morwen se recroquevilla contre elle-même et posa tristement sa tête sur ses genoux.

Bou regarda la jeune fille. Son histoire était si triste, qu’il eu un larme a couler le long de ses joue froides. Dans tous les noms qu’elle dit, il ne connaissait que deux personnes. Le regarde de morwen était si triste si sombre, Elle posa sa tête dans ses genoux. Elle parlait d’elle comme si sa vie était finie. Mais, Bou avait l’habitude de se dire que si des fantômes étaient pressent sur terre, c’est qu’ils avaient une mission à accomplir. Mais en tout cas ils n’étaient pas la pour rien. Puis bou se leva et en montrant son cœur, il lui dit.

Tu sais les amis et toutes les autres personnes cher à ton cœur resteront ici. Et c’est ça le plus important. Mais ce n’est pas parce que tu ne pars pas que tu es lâche. Ici tu as des amis sur qui tu peux compter. Et avoir des amis, pour un fantôme, certains peuvent trouver ça étrange mais tu en vaux la peine. Alors di toi que si tu pars, il n’y a pas que toi qui souffrirais. Peut être dans le fond tu penses aux autre et s’il ne te voyait plus eux comment réagirait-il.

Puis le jeune garçon lui tendis la main afin de l’aider a se relever.

Morwen releva la tête, surprise. Surprise d'avoir invoqué de la simpathie et du réconfort. Elle devait vraiment être pitoyable. Une lueur dansait dans ses yeux redevenus clairs. Elle fit un effort et sourit à Bou, si gentil pour elle, et se releva après s'être aidé de sa main. Elle la lacha et secoua ses cheveux blonds plein de poussière, et caressa la tête du dragon, qui avait l'air d'être totalement endormi. Il laissa échapper un petit grognement et un soupir de fuméee. Attendrie, Morwie contempla le petit dragon en penchant la tête. Elle déclara :Ca me fait tellement mal de voir les autres ne plus sourire, ne plus rire, devenir maigre, malade, n'assistant pratiquement plus aux cours tellement ils sont déprimés... Tiens, Hiraso, tu l'as déjà vu. Tu vois comme il est sombre ? Avant, au contraire, c'était un modèle de joie et de gaieté. Et aujourd'hui il n'arrive même plus à sourire. Ceux qui sourient encore sont soit des insouciants, soit des qui se forcent à sourire. On ne peut pas retrouver la joie après avoir vécu ça. J'aimerais tellement que tout s'efface...
Elle soupira. Ce n'était vrai qu'à moitié. Elle ne désirait absolument pas oublier Luciano, ni sa lettre. Elle aurait tellement aimé pouvoir se confier à Lyra en rougissant de joie...

Bou écouta attentivement ce qu’elle disait. Lui qui avait toujours prit la vie par pur plaisir. Il n’étais pas insouciant ni même fou ou encoure d’autre terme de se genre. Mais il s’était promis qu’après le jour de ses trois ans il ne serait plus jamais comme il avait été ce soir la. Sombre…trop sombre triste en colère, et surtout jamais il ne voudrait que le drame se reproduise jamais il ne voudrait encore une fois menacer ses parents de les tuer. Ni même autres qu’eux. A présent il avait ranger dans un coins de sa tête ce soir la et, son deuil était fini. Il s’était promit de toujours garder le plus beau sourire qu’il existe pour que les gens qui le regarde ai envi a leur tour de sourire.

Tu sais moi non plus ma vie n’a jamais été super mais je pense que ce n’es qu’une question de temps avant de retrouver le sourire il faut que ….

Son regard s’assombrit un petit peut. Mais il ne voulait pas repenser à cet instant. Même s’il avait fini de se lamenter sur son sort, il n’était pas non plus super content quand il en parlait. Il refit un sourire et pour réconforter Morwen, il lui avoua ce qu’il s’était passé.

Tu sais le jour de mes trois ans, mon père a voulut m’abandonner. C’était soit ça ou soit il tuait ma mère. ais ça je ne le savait pas. Il souhaitait même me tuer. Mais j’avais réussit a m’échapper. En prenant un pierre coupante et en lui infligeant une blessure a la jambe. ’ai même menacer de les tuer tout les deux. Mais je me suis enfuit. t malgré ça, je souri encore. Je veux dire que le plus important c’est de ne pas être seul. e n’y serait jamais parvenu sans mes frères.